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Ecole Sainte Hildegarde Apprendre avec Hildegarde les secrets de la santé de mon corps et de mon âme

Celui qui refuse de confesser ses péchés se trompe lui même

Le 21/06/2021

Dans Les vérités de la foi contenues dans les livres révélés à Ste Hildegarde

Dans le Scivias , 6ème vision, chap 84 ( page 351 de l'édition du Cerf) Dieu dit :

" Celui qui refuse de mettre à nu ses péchés, mais garde le silence et tente de se soigner par lui-même, sans l'aide d'un autre, du fait qu'il approuve ce que son coeur a voulu, se trompe lui-même, car il veut être son propre prêtre; et s'il n'est pas capable de se redresser sans l'aide d'un autre, c'est que l'homme ne s'est pas mis debout par lui seul, mais qu'il a été sauvé par Mon Fils. Alors que celui qui veut être sauvé, ne désèspère pas de confesser ses péchés, même à la fin de sa vie".

                                                                                                  Sacrement confession

 

Jésus dans les messages donnés à Mgr Ottavio Micchelini au sujet de la confession ;

8 juin 1976

" On entend souvent mon fils “La religion est une chose, les affaires une autre”. D'après ce principe erroné, le vol et la fraude deviennent des habitudes de vie, de sorte qu'on ne se fait pas scrupule de dérober continuellement, de tromper et d'exploiter le prochain de toutes les façons. Les gains illicites ne sont même pas accusés en confession, parce qu'une telle conception est arrivée à offusquer même les âmes de prêtres qui ne se posent pas de semblables scrupules. Tu ne sais pas, mon fils, combien de consacrés devront payer au delà de la vie terrestre, avec l'Enfer ou avec un temps terriblement long de Purgatoire, les péchés d'appropriation indue, pour une rétribution nulle ou injuste envers leurs employés, pour fraude proprement dite et pour d'autres choses plus fréquentes qu'on ne le croit dans l'Eglise. Séparer les problèmes et les devoirs religieux et sociaux des autres devoirs personnels est simplement absurde. Ainsi, est absurde le dicton “on ne vit qu'une fois”, compris de manière à rendre, à l'occasion, licite ce qui est illicite"

26 octobre 1975

" Il n’y a pas lieu maintenant de parler de ceux qui se déclarent athées, mais de ceux communément considérés “bons chrétiens”. Le dimanche matin, ils vont à l’église, attendant peut-être pour y entrer que soit terminé l’interminable commentaire de ma Parole. Ils s’approchent des sacrements, peu avec une foi fervente, beaucoup par habitude ou tradition familiale. Il y a si peu de conviction que, le soir, ils ne se font aucun scrupule d’assister à des films pornographiques ou, quand ils ne sont pas tels, à des films qui sont de vraies écoles de vol et de violence de tout genre. Puis le poison du matérialisme entre dans tous. Parmi les adolescents et les jeunes, comme un fleuve en crue, est entrée la corruption et l’immoralité se répand. Toutes les portes ont été ouvertes, y compris celles des soi-disant “bons chrétiens” qui le matin vont se confesser, tout en sachant que dans la journée ils pécheront gravement.

Juges des consciences Ils le savent, et beaucoup de confesseurs le savent, qui continuent à absoudre tout et tous. Le matin, la Sainte Communion (qui donc n’est pas sainte) et le soir on fréquente les bals, salles et réunions, où l’exaltation de la sensualité fait loi ! Sans doute on confesse les adultères, car ils savent qu’il ne manquera pas de prêtres prêts à les absoudre. On a oublié les paroles claires et précises : “Nolite ponere margaritas ante porcos”. On a oublié que les sacrements sont les fruits précieux de ma Passion. On a oublié les paroles avec lesquelles, Moi, Sauveur et Libérateur, J’ai conféré à mes Apôtres et Successeurs le pouvoir de remettre ou de retenir les péchés. Ils ont oublié, beaucoup de prêtres, qu’ils ont été constitués juges des consciences. Et c’est la fonction du juge, dans l’exercice de sa profession, d’enquêter sur les délits, sur l’importance des délits. La légèreté avec laquelle on absout toujours tout et tous ne répond pas au dessein de ma Miséricorde, mais à un plan de Satan. Transformer les moyens de salut en moyens de damnation et discréditer la valeur infinie de la Grâce et des moyens que J’ai voulus pour la distribuer. Je t’ai parlé de messes sacrilèges, maintenant Je te dis qu’aux messes tu peux ajouter les confessions sacrilèges, parfois doublement sacrilèges. Voilà, fils, où est la racine des communions sacrilèges : ce laxisme qui rend indiscernables le licite de l’illicite, le bien du mal, où a-t-il ses racines ? Voilà pourquoi s’impose la révision sans délai.L’anarchie est entrée sans résistance, du for externe au for interne, ce qui fait que certains prêtres deviennent les auteurs de nouvelles doctrines et d’une nouvelle morale qui tout admet et tout approuve. Les conséquences sont par elles-mêmes compréhensibles pour beaucoup de prêtres le sixième et le neuvième commandement n’ont plus de raison d’être. Cela c’est un orgueil extrême ; cela c’est vouloir se substituer à Dieu ; cela, c’est ne pas croire en Dieu ; c’est ne pas croire à l’omnipotence, à l’omniscience, à l’omniprésence de Dieu. Satan continuellement induit des prêtres à répéter son péché d’orgueil et de désobéissance. Il a trouvé des alliés fidèles dans mon Eglise en les induisant à se faire ses collaborateurs dans l’œuvre de démantèlement. Est-ce que Satan et ses collaborateurs ignorent mes Paroles qui ne changent pas : “Je serai avec vous jusqu’à la fin des temps et les portes des enfers ne prévaudront pas”. Mon Eglise sera purifiée, mon Eglise sera libérée ! Mon amour pour Elle l’exige, la justice l’exige, ma miséricorde l’exige. De cela on n’a pas la juste vision"

 

28 octobre 1975

"La Miséricorde de Dieu n’est pas seulement grande, elle est infinie, mais cela n’autorise personne à en abuser d’une façon aussi honteuse. C’est important, fils ; c’est pourquoi Je te répète cette chose : D’administrateurs de la justice divine, ne devenez pas des complices du démon ; d’instruments du salut, ne devenez pas des instruments de perdition ! On ne se moque pas de Dieu impunément. Les paroles avec lesquelles J’ai institué ce moyen de salut sont d’une clarté sans équivoque : remettre ou retenir les péchés. Il ne peut pas y avoir de confession valide sans une contrition sincère ; il ne peut pas y avoir de contrition sincère sans un sérieux, efficace propos dene vouloir plus pécher. Beaucoup de confessions sont nulles. Beaucoup sont deux fois sacrilèges. Qui se confesse sans avoir les dispositions requises, ou qui absout sans vérifier qu’il y a les dispositions requises, profane le sacrement et accomplit un sacrilège. Il avilit ce prodigieux moyen de salut, le changeant en moyen de perdition, le prêtre qui se fait complice du mauvais dessein de Satan. Il ne cherche pas Dieu et le bien des âmes, mais il se cherche lui-même, et il est terrible de se préférer à Dieu. - Alors Seigneur ? - Oui, fils, non pas une sotte rigueur, mais la droiture et la justice. Pourquoi aurai-Je dit à mes Apôtres et à leurs successeurs : “Allez, et à tous ceux auxquels vous remettrez les péchés, ils seront remis, à ceux auxquels vous les retiendrez, ils seront retenus ?” Il est évident que par ces paroles est requis un jugement sérieux et équilibré, qui n’admet de compromis avec personne, ni avec sa propre conscience, ni avec le pénitent et encore moins avec Moi. Plus rien n’est péché Je répète, mon fils, volontairement plusieurs choses, pour mieux imprimer dans l’âme de mes prêtres ce point capital (le l’actuelle pastorale. Oui… On absout tout et tous sans aucune discrimination. Pour beaucoup de prêtres il est tellement facile d’absoudre, puisque plus rien n’est péché… La pureté n’est plus une vertu ; la paternité responsable, qui bien comprise est une bonne chose, est devenue motif de toutes les licences dans les rapports matrimoniaux. Sous le prétexte de favoriser la culture, on autorise les lectures les plus anti-conformistes où les germes de la luxure et des erreurs philosophiques et théologiques sont jetées sans parcimonie. Tout aujourd’hui est basé sur la fraude, sur le vol ; la justice requiert que le confesseur s’assure du sérieux, efficace propos de restituer le bien mal acquis. Très souvent le pénitent n’est même pas averti de ce devoir strict. Au nom du progrès, pour convaincre le pénitent que le confesseur est un homme moderne à la hauteur des temps, on ferme les yeux. Ils glissent sur ces choses, ceux qui ont la responsabilité de combattre le mal à la racine, toujours, partout et sans arrêt, pour n’être pas opprimés (ce qui malgré cela arrivera) en cette obscure et terrible heure que vous êtes en train de vivre.Je te bénis et avec Moi te bénissent ma Mère et saint Joseph."